Au Pérou, nos partenaires, la con­fédération CGTP et le syndicat de la construction FTCCP, passent de plus en plus par la coordination des droits humains pour faire entendre leurs plaintes.

Le 9 mai, ils ont signé un document rejetant l’alliance de la candidate aux élections présiden­tielles, Keiko Fujimori, avec un faux dirigeant syndical de la construction. Face au Ministère du Travail qui ne les écoute pas, à des juges corrom­pus qui rouvrent des chantiers fer­més toujours aussi dangereux, les syndicalistes ne trouvent plus que la défenseure des droits humains pour réagir.

En attendant les parlementaires vi­dent la loi santé et sécurité au travail obtenue grâce au projet en 2011, la trouvant trop dure pour les employ­eurs…